[Votes]Ecriture : sauvetage d'un renard

Bonjour à tous !

J'ouvre les votes concernant le concours d'écriture. Il y a deux participations, donc ce ne sera pas trop difficile à choisir

Vous pouvez voter jusqu'au 10 Septembre 2012.

Les participations :

Murania :

Citation :

Le soleil brillait dans le ciel, j'étais de bonne humeur. Je décidai d'aller me promener dans la forêt, la forêt près de chez moi. Je pris un sac avec dedans : bouteille d'eau, 2 ou 3 gâteaux et bien sûr mon appareil photo ! J'enfilai mes chaussures, sortis de ma maison pour commencer ma balade. Le vent était léger et il m’ébouriffait mes cheveux. Je commençai à entrer dans la forêt après 10 minutes de marche environ. La forêt était composée uniquement de feuillus mais de toutes sortes. Les herbes me chatouillaient les mollets et j'espérai ne pas attraper des tiques. L'ombre des feuilles me faisaient du bien et l’odeur de la forêt était réconfortante. Tandis que je pris un chemin qui s'enfonçait dans les ronces, il me sembla entendre des petits cris plaintifs. "Sans doute des oiseaux" me suis-je dit, je ne savais pas encore à quel point je me trompais. Au détour du sentier, je vis un rayon de soleil reflété sur une chose en métal. Je m'approchai curieuse, la chose avait une drôle forme. Je vis soudain des dents ainsi qu'une mâchoire. Sortant mon appareil photo je pris une photo de ce piège à mâchoire. J'examinai avec prudence l'objet, essayant de comprendre le fonctionnement. Les cris plaintifs me revinrent en mémoire et je me dis que peut-être c'était un animal pris au piège. Je rebroussai chemin et j'essayai de suivre le chemin des petits couinements. Au loin, je vis une forme allongée près d'un de ces horribles pièges. Elle se débattait et se battait désespérément pour se sortir de cette malheureuse situation. J'aperçus une fourrure rousse et des oreilles ainsi qu'un petit museau pointue. Un renard était coincé la dedans ! Le pauvre s’effondra à bout de force, il ne réagit même pas lorsque je m'approchai de lui. Grâce à son épuisement je pus le retirer du piège en me disant "heureusement que j'ai étudié le piège". La pauvre fut libérer et tandis que je m'éloignai pour me demander ce que j'allai faire ensuite, il se releva et fuit à boitant en travers les fourrés. J'espérai de tout mon coeur qu'il s'en sortirait. Je finis ma balade préoccupée et en rentrant sur le chemin de retour, je vis le renard, mon renard que j'avais sauvé entrain de lécher sa blessure. Heureuse, je rentrai le coeur léger.

Chêne :

Citation :

Je me réveillai de ma sieste avec une envie de me promener. Profitant de mon temps libre, je décidai d'aller voir la grande forêt. Il m'a fallut moins de 10 secondes pour m'équiper et pour sortir ! Je m'étirai et commençai ma randonnée, j'espérai voir des animaux sauvages, autre que des insectes. Après un bon bout de temps de marche la forêt fut en vue, elle était composée de feuillus et de conifères. Elle était réputée pour être le refuge des animaux sauvages, d'ailleurs c'est pourquoi j'avais décidé de me diriger par là. Je me demandais si cette forêt était protégée ou pas. Ne voyant aucun panneau je me suis dit que non et c'était bien dommage. J'entrai dans la sombre forêt, une odeur de champignons et de terre mouillée me chatouilla le nez. J'adorai cette odeur ! En regardant devant moi, je ne fis pas attention et passai sans le savoir un millimètre d'un piège à ours. Je donnai un coup de pied à un malheureux bâton. Soudain j'entendis un claquement, intrigué je regardai du côté où j'avais lancé le bâton, et là je vis un piège à ours. Il s'était refermé sur mon malheureux bout de bois. Je suivis la piste de piège qui était suffisamment visible et je suis tombé sur un spectacle affreux : un renard était pris au pige dedans ! Paniqué, je me demandai comment j'allais pourvoir l'aider. L'animal glapit de terreur en me voyant et essaya encore plus de se retirer du piège. Je lui parlai doucement pour le rassurer et m'éloignai mais rien à faire ! Et puis, le renard eu un réflexe connu des animaux : il se rongea la patte et la sacrifia enfin de sortir. Mais je le vis tomber plus loin à bout de force. Je le pris dans mes bras et après plusieurs heures je me retrouva chez le vétérinaire avec le renard dans mes bras. J'attendis des nouvelles du pauvre animal quand soudain le vétérinaire sortit de la salle d'opération et me rassura : le renard allait bien ,il allait être relâché.
Soulagé, je rentrai chez moi, le sourire aux lèvres.

Votez pour la meilleure participation !

Mu'.

C'est vrai que c'est dommage qu'on est que deux

J'ai voté

J'ai voté aussi

Chêne est en-tête

Chêne est le grand gagnant !

Bravo à lui